Recherche par auteur : Kern, Étienne
87 résultats. Page 5 sur 5.
Lu par : Lucienne Villoz
Durée : 10h. 19min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 5449
Résumé:L'Antarctique est le continent le plus inhospitalier de la planète. Les vents soufflent à plus de 180 km/h et le froid tombe à -50° C. Les blizzards opaques séparent les hommes, les crevasses surgissent sous les pattes des chiens. Pourtant, de l'été 1989 au printemps 1990, de la Péninsule à l'océan Indien en passant par le pôle Sud, la plus grande expédition internationale jamais montée décide de traverser d'ouest en est ce désert de glace. Pendant sept mois, sur six mille trois cents kilomètres, six hommes, le Français Jean-Louis Etienne et l'Américain Will Steger, accompagnés d'un glaciologue chinois, de scientifiques soviétique et japonais, d'un maître-chien anglais, regroupés sur trois traîneaux et tirés par trente-six chiens, vont affronter ces conditions de vie extrêmes. Terre de science et de paix, l'Antarctique est la plus inaccessible et la plus préservée des terres. Mais des hommes ont appris à y vivre ensemble au-delà des cultures et des nationalités. Puisse l'esprit de Transantarctica être un encouragement pour un monde meilleur.
Lu par : Claude Garnier
Durée : 11h. 35min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 35068
Résumé:Août 1914, la déclaration de guerre vient bouleverser le quotidien tranquille des villageois de Nouan-le-Fuzelier en Sologne. Antoine Richerand, l’instituteur, part pour le front, laissant derrière lui Inès, sa ravissante épouse. Au printemps 1915, grièvement blessé par un éclat d’obus, Antoine est hospitalisé à Paris. Inès lui rend visite régulièrement, s’efforçant de tenir son rôle d’épouse aimante, mais elle découvre un homme transformé, traumatisé par son expérience de la guerre, entre prostration et accès de violence. Exténuée par ses voyages incessants, consciente que l’avenir espéré avec Antoine est désormais impossible, Inès se met à rêver d’une autre vie… Un jour sur les quais de Seine, elle fait la connaissance d’Isidore Lambiot, un vieux garçon un peu excentrique. Ému par la détresse de la jeune femme, il lui propose son aide. Dès lors, Inès va devoir choisir…
Lu par : Janick Quenet
Durée : 3h. 54min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 10938
Résumé:Gilles, un étudiant, vient s'installer dans un vieil immeuble de la banlieue lausannoise. Un immeuble peuplés de personnes âgées et sur lequel règne une concierge abominable : Mme Malamondieu. Bientôt, une relation d'amitié (voire de filiation) se noue entre Gilles et son voisin, Edouard. Une relation au centre de laquelle on trouve la musique, à travers le violon et le violoncelle. En effet, les deux hommes jouent, s'apprennent mutuellement, et pas que la musique, mais aussi la vie. En parallèle à cette amitié, on trouve un duel acharné et très drôle entre Gilles et la concierge, qui se livrent un combat fait de sournoiseries, de petits billets provocateurs laissés sur la machine à laver, et autres gentillesses...
Lu par : Nicole Roche
Durée : 7h. 37min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 25527
Résumé:Dans la lignée de l'Histoire des haines d'écrivains, avec la même verve et une pluie d'anecdotes, ce livre raconte comment les parents d'écrivains du XIXe et du XXe siècle ont réagi à la vocation de leurs rejetons. Pour beaucoup, qui rêvaient d'un métier sérieux ou d'un avenir solide, c'est la disgrâce absolue : jules Renard n'est qu'un " chieur d'encre " aux veux de sa mère ; le père de Nerval finit par rompre avec lui. Quant à la mère de Marguerite Duras, elle se désespère : " Tu es faite pour le commerce ! " Car, insiste Mine Gide, il faut bien trouver de quoi " mettre la poule au pot ". D'autres encore sont scandalisés, ou s'agacent d'une imagination jugée débordante. " Poulou n'a rien compris à son enfance ", s'écrie la mère cle Sarine après avoir lu Les Mots. Certes, tous les parents n'ont pas été hostiles : Honoré a souffert sa vie durant de ses rapports avec la terrible Mme Balzac, qui exécrait ses premiers romans, mais il a eu le réconfort d'être le fils de son père ; un Théophile Gautier, une Marguerite Yourcenar ont été encouragés dès l'affirmation de lem- vocation. Ce soutien frôle parfois la cocasserie pure : quand, emporté par l'inspiration, Lamartine célébra dans un poème le lierre majestueux, mais imaginaire, qui recouvrait la maison familiale, sa mère s'empressa d'en planter un, afin que nul ne pût prendre Alphonse en défaut... Peur de la déchéance sociale, fierté face au succès, rejet d'un milieu qu'on connaît mal, incrédulité, dévotion ou indifférence : souvent savoureuses, ces réactions à l'irruption de la littérature dans une vie nous font plonger dans l'intimité de ces familles à la lois si lointaines et si proches.
Le compagnonnage: son histoire, ses coutumes, ses réglements et ses rites
Martin Saint-Léon, Étienne
Lu par : Christine Wullaert
Durée : 14h. 56min.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 34214
Résumé:Le compagnonnage a été pendant plus de cinq siècles une des institutions les plus puissantes de notre pays. Contre les corporations, instruments d'une oligarchie jalouse de ses privilèges, il a défendu infatigablement la cause des artisans, les instruisant dans leur art et les protégeant. Il les accompagnait dans leur Tour de France, où ils acquéraient cette habileté de main attestée par tant de chefs d'oeuvre. Dans ce magnifique ouvrage, Martin Saint-Léon nous présente les divers mouvements compagnonniques, souvent rivaux ; il nous décrit leurs coutumes, les rituels de réception, leurs fêtes, leurs pèlerinages, comme celui de la Sainte-Baume. Il nous fait partager leur vie quotidienne sur les chantiers et dans la cayenne, où la Mère, objet d'un respect unanime, les nourrissait et les logeait. Une somme de documents rares : chansons, règlements, rites, récits écrits par des compagnons, fait du livre de Martin Saint-Léon l'ouvrage de référence inégalé sur le compagnonnage.
Les yeux au bout des doigts: parcours d'un physiothérapeute aveugle: récit autobiographique
Kern, Michel
Lu par : Françoise Kern
Durée : 6h. 9min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 11709
Résumé:Michel Kern a définitivement perdu la vue à l'âge de vingt ans. La septantaine bien sonnée, il dresse le bilan d'une vie qui a dû s'accommoder de ce très lourd handicap. Physiothérapeute de métier, profession qu'il exerce à Fribourg, adepte de plusieurs instruments de musique, bon nageur aussi, il ne s'est jamais résigné. Ce témoignage à la fois émouvant et drôle, c'est le sien, écrit à partir d' un clavier traditionnel. Une prouesse parmi d' autres pour cet homme hors du commun! Pour cette oeuvre, Michel Kern a reçu le Prix artistique 2001 de la Commission romande de la Fédération suisse des aveugles et malvoyants.
Le crâne de mon ami: les plus belles amitiés littéraires, de Goethe à Garcia Marquez
Kern-Boquel, Anne
Lu par : Emmanuel Fetiveau
Durée : 5h. 54min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 65956
Résumé:Les grands écrivains font-ils de bons amis ? Voici treize histoires d'amitié qui ont marqué à jamais l'histoire de la littérature. Tolstoï et Tourgueniev peuvent se provoquer en duel un jour et tomber dans les bras l'un de l'autre le lendemain. C'est assis à la même table que Cocteau et Radiguet, le temps d'un été en bord de mer, écrivent certaines de leurs plus belles pages. La rivalité de Virginia Woolf et de Katherine Mansfield n'a d'égale que leur extraordinaire complicité. L'"amitié indélébile" qui lie Senghor à Césaire dure soixante-dix ans et balaie tous les différends. Celle de Ginsberg et Kerouac a toute l'intensité de la génération "beat". C'est par un oeil au beurre noir que s'achève le compagnonnage de García Márquez et de Vargas Llosa. Quant à Goethe, à la fin de sa vie, il conserve sur une étagère de son bureau la plus précieuse des reliques : le crâne de Schiller, son alter ego disparu des années plus tôt. Rencontres étonnantes, brouilles passagères, deuils insurmontables, moments de grâce et de créativité partagés, ces amitiés d'écrivains, hautes en couleur et tout en tendresse, illustrent avant tout la force de ce qui nous lie les uns aux autres.