Recherche par auteur : Kern, Étienne
102 résultats. Page 5 sur 6.
Lu par : Pierre Biner
Durée : 2h. 37min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 15712
Résumé:A la veille de sa retraite, le commissaire Höchstettler, franc-tireur perspicace et sympathique, adopte un comportement qui fait scandale : il rend visite aux auteurs de délits demeurés impunis, et parvient aisément à les confondre, preuves à l'appui. Mais c'est pour les laisser courir. Mieux, il entreprend un cambriolage en compagnie de deux d'entre eux. Le commissaire est-il devenu criminel? Tout au contraire, on comprend bientôt que chacun de ses actes, si stupéfiant soit-il , est inspiré par la compassion pour les hommes et la passion de la justice - la vraie, pas celle des commissariats et des prétoires. Une telle passion, la société ne peut que la contrarier, de toute son inertie et de toute sa violence. Plus les causes défendues par le commissaire seront nobles et vitables, plus il lui sera difficile de les faire triompher. C'est ainsi qu'il va se trouver pris au piège d'une affaire tragique où son courage et son intelligence risquent bien d'être écrasés par la sempiternelle coalitiion des intérêts, des ambitions et des bienséances. Dürrenmatt n'a pas achevé ce roman. Mais la puissance de l'auteur est là tout entière, et son audace, et son humour. Brusquement interrompu, comme étranglé par le silence, son cri de révolte n'en est que plus déchirant.
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 1h. 30min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 10568
Résumé:Comment se fait-il que les hommes combattent pour leur servitude comme s'il s'agissait de leur salut ? Cette question, qui sera reprise par Spinoza et réactualisée par la domination totalitaire, est au cœur du Discours de la servitude volontaire de La Boétie. Loin d'être un pamphlet d'inspiration libérale et démocratique, comme l'a cru à tort la postérité, ce livre reste à découvrir ; Pierre Clastres et Claude Lefort s'efforcent ici d'arracher La Boétie à la méconnaissance. N'est-il pas le grand antagoniste à la hauteur de Machiavel ? Comme si leurs deux noms symbolisaient le paradoxe du politique : Machiavel pensait le pouvoir avec la liberté ; La Boétie pensait le pouvoir contre la liberté.
Lu par : Jean Frisch
Durée : 5h. 22min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 10945
Résumé:A mi-chemin entre essai économique, dont l'auteur est spécialiste, politique-fiction et scènes de la vie quotidienne, le livre trébuche sur la disparité des genres. Le réveillon de Noël 2024, dans la très bourgeoise famille Colin, est prétexte, sur le ton de la conversation, à des digressions sur tous les sujets brûlants : prépondérance du virtuel, métissage des cultures, allongement de la vie, bouleversements sociaux, bioéthiques, géostratégiques. Ces dialogues sont suivis de chapitres de commentaires passant du banal au « très pointu » truffé de statistiques...
Les yeux au bout des doigts: parcours d'un physiothérapeute aveugle: récit autobiographique
Kern, Michel
Lu par : Françoise Kern
Durée : 6h. 9min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 11709
Résumé:Michel Kern a définitivement perdu la vue à l'âge de vingt ans. La septantaine bien sonnée, il dresse le bilan d'une vie qui a dû s'accommoder de ce très lourd handicap. Physiothérapeute de métier, profession qu'il exerce à Fribourg, adepte de plusieurs instruments de musique, bon nageur aussi, il ne s'est jamais résigné. Ce témoignage à la fois émouvant et drôle, c'est le sien, écrit à partir d' un clavier traditionnel. Une prouesse parmi d' autres pour cet homme hors du commun! Pour cette oeuvre, Michel Kern a reçu le Prix artistique 2001 de la Commission romande de la Fédération suisse des aveugles et malvoyants.
Lu par : Janick Quenet
Durée : 3h. 54min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 10938
Résumé:Gilles, un étudiant, vient s'installer dans un vieil immeuble de la banlieue lausannoise. Un immeuble peuplés de personnes âgées et sur lequel règne une concierge abominable : Mme Malamondieu. Bientôt, une relation d'amitié (voire de filiation) se noue entre Gilles et son voisin, Edouard. Une relation au centre de laquelle on trouve la musique, à travers le violon et le violoncelle. En effet, les deux hommes jouent, s'apprennent mutuellement, et pas que la musique, mais aussi la vie. En parallèle à cette amitié, on trouve un duel acharné et très drôle entre Gilles et la concierge, qui se livrent un combat fait de sournoiseries, de petits billets provocateurs laissés sur la machine à laver, et autres gentillesses...
Lu par : Isabelle Chabanel
Durée : 1h. 52min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 10363
Résumé:
Lu par : Anne-Lise Zambelli-Blanc
Durée : 4h. 13min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 13106
Résumé:Barilier émet d'emblée une hypothèque, l'Europe est atteinte de narcissisme et si elle l'avait un peu oublié, le 11 septembre 2001 a eu tôt fait de remettre les pendules à l'heure, obligeant chacun à affirmer clairement sa position au sein des autres. On a pu voir le chaos provoqué et la belle entente de façade se lézarder de toutes parts. Parallèlement à cette notion de civilisation européenne dans laquelle Barilier donne un bon coup de pied, on y trouve également un développement intéressant de ces notions de bonne civilisation et mauvaise civilisation (ça ne vous rappelle pas les propos d'un certain Berlusconi sur la civilisation arabe ?), et aussi de fossé infranchissable séparant les deux. Les attentats américains dont on parlera encore longtemps seraient-ils une riposte des mauvais envers les bons, comme les faiseurs de guerre nous l'ont fait croire ? Si un s'est défendu (même via le terrorisme), n'est-ce pas parce que l'autre l'avait provoqué, Et donc, en filigrane, est-ce bien fait ? L'antiaméricanisme latent qui n'attendait que d'être réveillé a-t-il profité de l'occasion ? La question a le mérite d'être posée et Barilier se garde bien de donner la vérité suprême en la matière. Il préfère analyser les propos de l'écrivain bengali Arundathi Roy qui considère Al-Qaïda comme le simple effet miroir d'une mondialisation économique tout aussi violente. Ou Noam Chomsky, comparant le 11 septembre 2001 à une pacotille à côté de toutes les exactions et horreurs dont les Etats-Unis sont responsables un peu partout dans le monde. Une théorie à laquelle j'adhère volontiers mais ce faisant, ne cautionne-t-on pas indirectement violence et terrorisme? sahkti@hotmail.com /zazieweb.fr
Lu par : Denise von Arx
Durée : 4h. 36min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 14954
Résumé:Qui est le Grand Vieux ? Le chef invisible et tout puissant d'un syndicat de tueurs aux ramifications mondiales, ou bien le Créateur non moins redoutable du Ciel et de la Terre, qui se joue des hommes à plaisir, ridiculisant leurs calculs et leurs passions, leurs rêves de puissance et de justice ? «Dieu a créé le monde en beaucoup moins de sept jours et trouvé que la plaisanterie était bonne» ; ce pseudo-verset biblique imaginé par l'auteur illustre à merveille un récit cruel, sardonique, aussi drôle qu'angoissant, aussi solide que vertigineux, mélange parfait et monstrueux de Genèse et d'Apocalypse. Le Grand Vieux a tellement aimé la plaisanterie du monde qu'il nous a donné Durrenmatt pour le chanter et le magnifier avec cette inquiétante bonhomie et cette convaincante folie qui n'appartiennent qu'à lui.
Lu par : Jacques Zurlinden
Durée : 7h. 28min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 14449
Résumé:Présentation de l'éditeur : L'Europe n'a plus conscience d'être une civilisation. Au nom de ses crimes anciens, elle a renié le meilleur d'elle-même. Mais en ce début de XXIe siècle, elle n'a plus rien à renier parce qu'elle a tout oublié. Appauvrie et démunie, elle veut être bien avec tous ses voisins, proches et lointains. Elle veut surtout faire le Bien : nos artistes, nos politiques, nos médias, et jusqu'à notre langage, sont maniaques de la vertu. Hélas, c'est la vertu des faibles. Notre Bien est peureux, négatif, superficiel, et surtout il est vide. Et si, au lieu de vouloir être bons, nous essayions d'être nous-mêmes ? Et si, face aux grandeurs des autres civilisations, nous songions à notre grandeur propre, qui n'est pas de chercher la perfection, mais de nous vouloir perfectibles, et de chercher le bien sans jamais quitter des yeux la beauté ni la vérité ?
Lu par : Natacha Baumberger
Durée : 7h. 36min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 14400
Résumé:La vallée de la Loue, la pêche à la truite, Gustave Courbet, des lectures de Maupassant pour mettre des couleurs aux fins de soirées, des gueuletons deux étoiles au Gault et Millaut pour bien les commencer : un havre, un paradis !, le domaine de Clairvaux que le richissime banquier suisse Maximilien Reuth s'est offert et où il invite ses amis. Il y a Petit-Bouilli, le maître-queux qui doit son surnom à son visage ébouillanté, Vuille, facteur en clavecin et pêcheur en toutes eaux, et puis Sauvain, le dernier venu, romancier, espérant trouver là matière à un livre qui se fait attendre. Un autre sujet s'imposera à lui : Vivianne, qui venait faire le ménage et plus si affinités, est retrouvée morte dans la rivière. Max fait un parfait coupable.
Lu par : Anne-Lise Zambelli-Blanc
Durée : 6h. 16min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 12302
Résumé:Une femme gynécologue quitte son compagnon photographe alors que leur vie était préprogrammée. Elle a fui et il proteste...Ce roman de la dépossession et de la révolte, noué de tendresse et de violence amoureuses, devient, malgré la marche inexorable du temps, celui d'une vaste réconciliation, dans la coexistence de l'épars et de l'indéfectible.
Lu par : Isabelle Chabanel
Durée : 8h. 38min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 9933
Résumé:... Il n'y a rien de plus difficile que de parler de l'école au quotidien : conseils de classe, correction de travaux, discussions avec ses collègues, tentatives - plus ou moins heureuses - d'apprivoiser les élèves les plus rétifs, sinon les plus problématiques. De même qu'on ne fait pas de bonne littérature avec de bons sentiments, on ne fait pas de bon roman avec des préoccupations didactiques, voire pédagogiques ou syndicales.
Lu par : Jean Frisch
Durée : 4h. 35min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 8295
Résumé:Des récits ayant pour cadre le jardin mythique du bonheur et de la respectabilité helvétiques, avec ses gazons nets, ses thuyas, ses habitants paisibles. Mais sous le quant-à-soi aimable filtrent la manie douce et opiniâtre, le désir inavouable, l'angoisse de toute intrusion. Que surgissent l'inattendu, le bizarre, la simple nouveauté en ce fragile d'hypocrisie, et le paradis vole en éclats...
Lu par : Daniel Burnand
Durée : 7h. 18min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 7471
Résumé:L'inspecteur Abt est envoyé dans un manège du Jorat pour y enquêter sur le meurtre d'un homme. Ledit meurtre dont on ne sait pas si c'en est un ou s'il s'agit d'un simple accident. Et puis "enquêter" est un bien grand mot... C'est plutôt une voie de garage, en attendant la retraite, où l'on place le quinquagénaire.
Lu par : Martine Moinat
Durée : 6h. 21min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 6419
Résumé:Premier roman de Jacques-Etienne Bovard, "La Griffe" raconte la cure de désintoxication en montagne qu'effectue un petit groupe de fumeurs. Pendant quelques jours, on suit les protagonistes dans leurs "aventures" montagnardes.
Lu par : Hélène Knobel
Durée : 1h. 42min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 6251
Résumé:Un court récit d'Etienne Barilier, à caractère onirique. Etait-ce songe ou mensonge, vérité entrevue ou suggestion sournoise ? Que cache l'étrange langage des perroquets de l'île ?
Lu par : Lucienne Villoz
Durée : 10h. 19min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 5449
Résumé:L'Antarctique est le continent le plus inhospitalier de la planète. Les vents soufflent à plus de 180 km/h et le froid tombe à -50° C. Les blizzards opaques séparent les hommes, les crevasses surgissent sous les pattes des chiens. Pourtant, de l'été 1989 au printemps 1990, de la Péninsule à l'océan Indien en passant par le pôle Sud, la plus grande expédition internationale jamais montée décide de traverser d'ouest en est ce désert de glace. Pendant sept mois, sur six mille trois cents kilomètres, six hommes, le Français Jean-Louis Etienne et l'Américain Will Steger, accompagnés d'un glaciologue chinois, de scientifiques soviétique et japonais, d'un maître-chien anglais, regroupés sur trois traîneaux et tirés par trente-six chiens, vont affronter ces conditions de vie extrêmes. Terre de science et de paix, l'Antarctique est la plus inaccessible et la plus préservée des terres. Mais des hommes ont appris à y vivre ensemble au-delà des cultures et des nationalités. Puisse l'esprit de Transantarctica être un encouragement pour un monde meilleur.
Lu par : Jean Frisch
Durée : 15h. 46min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 5154
Résumé:En vacances, au cours d'une excursion sur les montagnes de l'île de Madère, un enfant s'égare. Au hasard de son errance, il découvre l'entrée d'une grotte. Une infractuosité banale, mais qui recèle le témoignage d'une civilisation disparue. Madère n'est-elle pas l'une des émergences dans l'Océan, de l'Atlantide engloutie ? Cependant, il faudra des années pour que l'enfant, de retour sur l'île aille jusqu'au bout de sa découverte...
Lu par : Fernande Guex
Durée : 8h. 46min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 3947
Résumé:Roman épistolaire, traite du mensonge et de la vérité, aussi bien au niveau individuel que public, sur le fond historique du mouvement de libéralisation de 1968 en Tchécoslovaquie - le printemps de Prague - et de l'intervention armée de l'Union Soviétique.
Lu par : Lucienne Villoz
Durée : 8h. 25min.
Genre littéraire : Voyage/exploration
Numéro du livre : 3852
Résumé:Depuis la légendaire rivalité de Cook et Peary, que d'expéditions se sont risquées vers le Pôle Nord ! Au XXe siècle, dix l'ont atteint - avec chiens et traîneaux. Quand Jean-Louis Etienne prend à son tour le départ, le 9 mars 1986, il sait qu'il n'a que 2% de chances de réussite. Parce que lui s'engage seul, sans armes et avec un seul traîneau de survie, dans l'enfer imprévisible et titanesque de la banquise. 8 à 13 heures de marche quotidienne par -50°, 63 jours, 1200 km. Ses atouts: une préparation intensive à l'effort, une résistance au froid éprouvée, un matériel de pointe. Ses handicaps: la solitude, l'angoisse qu'une déficience de sa radio ne le coupe à jamais des autres hommes, la tentation obsédante du renoncement...